Alors que "jean et Dominique" (on ne sait plus qui est le Maire)
avaient essayé de brosser une vision des plus noires de l’Aménagement des rythmes éducatifs (sécurité,
hygiène, manque de formation), les interventions des proviseurs et des parents
d’élèves mettaient un terme à leurs espoirs d’utiliser ce thème pour leur
campagne.
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Personne ne nie qu’il y ait eu des soucis à la mise en place,
- Personne ne nie qu’il faille différencier plus clairement le temps de l’enseignement de celui des rythmes éducatifs pour les enfants comme pour les personnels,
- Mais tout le monde convient que si l’ensemble de la communauté éducative travaille ensemble, l’ARE est un succès.
Maintenant,
la fatigue des enfants est un vrai sujet ; elle est parfois augmentée par les déplacements pour aller vers le site des activités.
Sont-ils plus ou moins fatigués que l’année dernière ? Difficile à savoir !
Les directeurs n’osent dire à haute voix qu’ils auraient préféré que la ½ journée
choisie soit celle du samedi.
Il y a indéniablement
à caler la relation entre directeur et REV, à définir plus précisément qui est
responsable à chaque étape de la journée ; la DASCO essaye d’améliorer un
1er document et visiblement l’Inspectrice générale et le responsable
DASCO de l’arrondissement travaillent ensemble pour éviter les blocages.
Sur les aspects
de sécurité, la situation est réglée ; liste des enfants transmise entre
Directeur et ARE, accréditation pour les intervenants…
Pour les
écoles maternelles, le non réveil des enfants au cours de leur sieste, le suivi
de leur propreté pendant les activités éducatives seront réglés par le renfort
d’une personne par école maternelle.
L’utilisation
des locaux scolaires ou les cantines sera réglée par des protocoles d’occupation
des locaux.
Il est
évident que l’importance des moyens engagés est primordiale dans le succès de
cette réforme ; il est sûr que Paris n’est pas n’importe quelle commune
tant pour le nombre d’enfants concernés (100.000 enfants et 663 écoles) que
pour les moyens humains et financiers mobilisables !!
Les réponses
aux questions sur le suivi des animateurs et des associations montrent qu’il y
a encore des points à voir. Sans crier au loup et évoquer une insécurité
inexistante, une meilleure connaissance des associations intervenantes seraient
un plus pour directeurs, parents et mairies d’arrondissement.