mercredi 28 janvier 2015

Institut Culturel Irlandais - Concert pop-folk Mick Flannery le mercredi 28 janvier à 19h30




Concert pop-folk

Mick Flannery

MERCREDI 28/01/15 à 19h30







Auteur-compositeur-interprète à la modestie irrésistible, le guitariste Mick Flannery se consacre tout entier à son art. La sincérité de ses paroles, la délicatesse de ses mélodies et sa présence scénique envoûtante lui ont valu d'être, à raison, comparé à de grands songwriters, tels Bruce Springsteen ou Tom Waits. By the Rule (2014), son quatrième opus, considéré comme le meilleur de l’artiste à ce jour, s'est rapidement hissé à la première place des charts irlandais. Après une tournée à guichets fermés, Mick vient aujourd’hui partager ses chansons teintées de folk et de blues et nous transporter dans un monde empreint de romantisme, de mélancolie et d’espoir.
« Un timbre rauque et puissant, empli d'affliction. En studio comme en live, il vous emporte et vous prend par surprise. » (Urban Folk)


Thomas PLASSCHAERT « Sans noms », vernissage le jeudi 29 janvier à partir de 18h à Atelier-Galerie Christine Virmaux











Christine Virmaux et Robert Lévy
ont le plaisir de vous inviter au vernissage
de l’exposition

Thomas PLASSCHAERT
« Sans noms »

Exposition
du 29 janvier au 8 mars 2015
Vernissage le jeudi 29 janvier à partir de 18h
en présence de l’artiste




Atelier-Galerie Christine Virmaux
12, rue des Patriarches - 75005 Paris
Ouverture : 14h-19h du jeudi au samedi et tous les jours sur rendez-vous
Contacts : 06 62 45 88 50 - 06 61 18 52 40





Institut Finlandais : Invitation / Impressions d'Helsinki / Inauguration participative le mercredi 28 janvier à partir de 18 h






Une exposition qui présente les œuvres de quatre illustrateurs finlandais 
passés par l’École supérieure d’art de design et d’architecture Aalto : 
Antti Kalevi, Leena Kisonen, Hanna Konola et Matti Pikkujämsä. 
Une vision colorée et fantasque des liens 
entre art, textile et design.




Institut finlandais
60, rue des Écoles
33, rue de Sommerard
75005 Paris
FRANCE
Tél. +33 (0)1 40 51 89 09
www.institut-finlandais.fr
www.facebook.com/institutfinlandais
@finlandeaparis
institutfinlandais






Institut du Monde Arabe - Où va l'Egypte ? Rencontre-débat animée par Gilles Kepel le 28/01/15 à 19h











Institut du monde arabe
1, rue des Fossés Saint-Bernard Place Mohammed V 

75236 PARIS CEDEX 05
Tél. 01 40 51 38 38 

Fax 01 43 54 76 45 
Serveur vocal 01 40 51 38 11 





vendredi 23 janvier 2015

L’affaire des faux électeurs du 5ème : le hold-up du clan Tiberi




Ou comment pendant plus d’une décennie, 
des milliers d'électeurs faussement inscrits sur les listes électorales du 5ème arrondissement 
ont pu voter pour Jean Tiberi !








Alors que, ces jours derniers, se déroule l’audience des époux Tiberi devant la cour de cassation, il est triste de rappeler dans un Etat de droit que leur condamnation traîne depuis bientôt 18 ans, pendant lesquels les Tiberi ont épuisé tous les recours et surtout pendant lesquels Jean Tiberi a continué d’exercer ses mandats sans être inquiété ! En effet, les premières révélations dans le Canard Enchainé datent de 1997 !

Pour comprendre comment un tel scandale a pu s’organiser et demeurer impuni pendant si longtemps, il faut se remémorer l’époque où Paris était la capitale de la chiraquie et le Ve arrondissement, son tremplin

Jean Tiberi, natif de cet arrondissement prestigieux, dont le « Quartier Latin » est connu dans le monde entier avec ses universités, ses grandes écoles, ses écrivains, ses artistes, etc. en est le député depuis 1968. Il est aussi le plus fidèle lieutenant de Jacques Chirac
Lorsque celui-ci échoue à la Présidentielle de 1988, il donne la consigne de mobiliser tous les arrondissements de Paris, dans l’espoir de voir basculer à droite les arrondissements de gauche de la capitale lors des élections municipales de 1989. Tous les moyens sont permis pour y parvenir. C’est ce que ses proches collaborateurs de l’époque ont appelé la « transfusion sanguine » : faire inscrire des militants RPR habitant les autres arrondissements dans ceux qu’il fallait faire basculer, en leur attribuant de fausses adresses. Et c’est un succès ! Avec cette magouille de grande envergure, Chirac réalise le grand chelem !

Puis, lorsque Chirac est élu Président de la République en 1995, Tiberi devient le maire du Ve arrondissement. On assiste alors à un véritable hold-up : tous les pouvoirs (Préfet de Paris, Procureur, Maire de Paris, le Président de la République…) étant aux mains des chiraquiens, la justice est tenue éloignée du 5ème. 

En avril 1997 après l’hasardeuse dissolution décidée par Jacques Chirac, de nouvelles Législatives sont remportées par la Gauche. Dans la débandade générale des législatives de 1997, Tiberi est cependant parvenu à être réélu député mais avec seulement 2500 voix d'avance.
C’est à ce moment qu’ont lieu les révélations des faux électeurs par Le Canard Enchainé qui titre « Comment le clan Tiberi a topé les listes électorales dans son fief… »

Ainsi, on retrouve des centaines d’électeurs issus du RPR, proches et amis ou membres de la famille Tiberi, aux adresses farfelues telles que le 373 rue Saint-Jacques où 11 personnes étaient domiciliées dont un certain Shakespeare (!) alors que ce numéro n’existe pas !
S’y ajoutent des témoignages d’électeurs auxquels on a promis un logement, un emploi à la Ville de Paris, ou une place en crèche en échange d’une voix pour Tiberi lors des élections. 

Les militants socialistes de l’époque sont alertés notamment par le fait que de nombreux journaux de campagne adressés aux électeurs leur revenaient non distribués car leurs destinataires étaient inconnus à cette adresse ! Ils ont alors mené une enquête titanesque à partir des listes électorales.

Deux plaintes sont déposées. Une par le candidat écologiste pour « manœuvre frauduleuse de nature à altérer la sincérité du scrutin » et l'autre par la candidate socialiste Lyne Cohen-Solal afin de remettre en cause le résultat du vote et de dénoncer une atteinte grave à la démocratie en plein cœur de Paris !

Saisi, le Conseil constitutionnel a mollement constaté que l’écart de voix n’est pas significatif : 804 faux électeurs avérés pour 2500 voix d’avance. Il conclut que la fraude n’avait pas eu de réelle influence sur le vote. Le juge pénal n'aurait pas été saisi du dossier de fraude électorale constaté par le Conseil constitutionnel sans la mobilisation de certains électeurs de notre arrondissement auxquels il faut rendre hommage pour leur ténacité et leur détermination.

Car grâce à eux, les preuves accablantes commencent à s’accumuler. Une information judiciaire est enfin ouverte. Elle dure, ou plutôt on la fait durer, pendant des années pour mettre à jour une véritable entreprise massive de fraude et de détournement de votes : procurations de complaisance, votants morts (décédés parfois depuis plusieurs années !), etc.

Les époux Tiberi et Anne-Marie Affret, alors 1ère adjointe sont, avec d’autres, mis en examen en mars 2005, condamnés une première fois en 2009, puis en appel en 2011, à 10 mois de prison avec sursis, 10 000 euros d'amende et 3 ans d'inéligibilité pour Jean Tiberi et à 9 mois de prison avec sursis, 5 000 euros d'amende et deux ans de privation de vote pour son épouse Xavière, qui a joué durant des années un rôle, bien connu de tous les habitants, de vice-maire.
Niant l'évidence, Xavière Tiberi a toujours affronté la presse en se drapant dans sa supposée vertu en dénonçant les manœuvres politiques, dont son époux et elle seraient victimes.

Cependant, Jean Tiberi conserve son mandat après avoir fait appel en 2011Ils déposent encore plusieurs recours de procédure devant le Conseil constitutionnel. Mais, en 2013, la Cour d’appel confirme la peine prononcée en 2011
Dernier recours : les Tiberi se pourvoient en cassation : nous savons aujourd’hui que la réponse définitive sera rendue en mars 2015 !


Il ne manquerait plus alors que ces abonnés des prétoires déposent un nouveau recours devant la Cour européenne des droits de l'Homme pour lenteur excessive de la justice qu'ils ont eux-mêmes organisée !





mercredi 21 janvier 2015

Gilles Kepel à La librairie Compagnie le samedi 24 janvier à 18h15







Gilles KEPEL est professeur à l'Institut d'études politiques de Paris et spécialiste de l'islam contemporain. Il dirige la collection "Proche Orient" aux Puf.

A la suite du Forum "France Culture" à la Sorbonne, Gilles KEPEL dédicacera ses ouvrages le samedi 24 janvier à 18h15 à La librairie Compagnie.






KEPEL GILLES : PASSION ARABE, JOURNAL 2011-2013 (GALLIMARD)
Le 17 septembre 2010, Mohamed Bouazizi, jeune Tunisien vendeur ambulant de fruits et légumes, s'immole par le feu en place publique - et embrase le monde arabe. Les régimes de Ben Ali, Moubarak, Kadhafi, Ali Saleh sont précipités dans les flammes, et l'incendie porte jusqu'à Bahreïn et en Syrie. Afin de sauver leurs trônes, les gazo- et pétromonarchies déboursent des milliards de dollars pour allumer des contre-feux. Cette manne favorise la victoire électorale des islamistes, mais le feu social couve sous la cendre politique. Pour comprendre ces événements de grande portée, Gilles Kepel est allé partout, d'Israël en Syrie, et il a vu tout le monde, salafistes, Frères musulmans, djihadistes, blogueurs, intellectuels, militaires. Durant ce périple, il a tenu des carnets. Écrits au jour le jour et enrichis au cabinet de travail, ils aboutissent à ce beau livre, où l'humeur vagabonde du randonneur le dispute à l'oil acéré du chroniqueur, au savoir de l'orientaliste et à la plume de l'écrivain, le tout dans une forme alerte et vive, celle même du journal.

KEPEL GILLES : PASSION FRANCAISE, LES VOIX DES CITES (GALLIMARD)
Pour la première fois dans la France contemporaine, quatre cents candidates et candidats issus de l'immigration, surtout nord-africaine, se sont présentés aux élections législatives en juin 2012, principalement dans des circonscriptions populaires. Gilles Kepel, aidé par l'Institut Montaigne, a «zigzagué l'Hexagone» entre janvier 2013 et janvier 2014 pour en rencontrer une centaine. Pourquoi et comment ont-ils choisi d'entrer en politique afin d'incarner la souveraineté du peuple français? Avec pour matériau le Journal de ces voyages et le verbatim de ces entretiens, Passion française saisit un état de crise sociale et politique sans précédent, qui voit les polémiques sur l'identité française et l'islam, sur l'exclusion et le rejet du «système» battre leur plein, tandis que le Front national rafle la mise, y compris, au-delà du paradoxe, dans certaines cités. Gilles Kepel polarise son récit sur deux régions emblématiques : Marseille et ses quartiers nord, Roubaix, la ville la plus pauvre de France, l'une et l'autre héritières d'une riche culture ouvrière. Dans les deux cas, il observe la prégnance des marqueurs de l'islam dans le tissu social et les aspirations démocratiques de la jeune génération. Passion française peut dès lors se poser en diptyque avec Passion arabe : l'interpénétration de l'Afrique du Nord et du Proche-Orient avec nos banlieues pose, outre la question de l'islam de France, celle de l'identité que se cherche notre République dans les bouleversements du monde.


La librairie
La librairie Compagnie
58, rue des Ecoles
75005 Paris
Téléphone
01 43 26 45 36
E-mail
info@librairie-compagnie.fr
Horaires
du lundi au samedi de 10h30 à 20h15





lundi 19 janvier 2015

Formidable soirée en perspective au Centre Culturel Irlandais le 22 janvier 2015



Vernissage-Happening 
The Meta-perception Club  Happening 1







Jeudi 22 janvier 2015 au Centre Culturel Irlandais
Vernissage-Happening de 18h30 à 20h30
entrée libre


The Meta-perception Club 
Happening 1

Le premier happening du Meta-perception Club accompagnera le lancement de l’exposition de la vidéaste Jenny Brady. Lors de cette soirée seront aussi données à voir des installations de Cleary Connolly - sans oublier une démonstration de leurs casques méta-perceptuels - et de la photographe Roseanne Lynch. Le poète Billy Ramsell offrira une lecture de quelques nouvelles œuvres. L’ensemble Concorde interprétera la pièce musicale de Rhona Clarke, « Con Coro », devant un auditoire aux yeux bandés, tandis que les audacieux violonistes Caoimhín O Raghallaigh et Dan Trueman joueront de leur fiddle à dix cordes. Participeront également à ce happening plusieurs performeurs basés à Paris : les artistes sonores Dinah Bird et Jean-Philippe Renoult, le fromager-philosophe Hervé Binet, de même que le collectif Etre par six qui proposera une performance expérimentale chorégraphiée.


Centre Culturel Irlandais
5, rue des Irlandais
75005 Paris






21 janvier 2015 : première scène Slam à l'Institut du Monde Arabe







Informations pratiques

Quand 
21 janvier 2015
Atelier de 16h à 19h à la Bibliothèque de l’IMA, niveau 3 – sur inscription par mail à l’adresse : slam@imarabe.org dans la limite des 10 places disponibles et scène ouverte de 20h30 à 23h30 sous la tente, parvis– accès libre et gratuit


La poésie vivante et toute de proximité sera à l'honneur le mercredi 21 janvier 2015, avec une première scène SLAM à l' IMA

Ce qu'on appelle le slam n'est pas une manière de dire, mais une pratique collective qui réunit des gens de tous styles et de tout âge. Les règles sont simples : chacun dispose tour à tour de trois minutes pour faire vivre sans accessoire et a capella, un texte dont il est l'auteur.
Le mot slam est presque neuf, mais cette manière de se rencontrer est vieille comme l'humanité.

La poésie réunira – sous la grande tente marocaine – les passionnés de mots et de leurs petites musiques, et ouvrira nos fenêtres sur le Maroc, tel que chacun le voit et le porte en soi.

Un atelier d'écriture et d'initiation au slam, animé par Camille Case, est ouvert à qui veut venir partager un atelier d'écriture, en amont de la scène qui se passera le soir, dès 20h30.

Participation slam ouverte prioritairement aux participants de l'atelier et aux poètes invités.


Institut du Monde Arabe
1, rue des Fossés-Saint-Bernard
Place Mohammed-V 75005 Paris




jeudi 15 janvier 2015

Tarif du stationnement à Paris, une hausse qui ne passe pas









Avant les terribles attentats de la semaine dernière, le principal sujet de conversation sur les marchés parisiens était, après l’interdiction des feux de cheminée, heureusement levée, la hausse du tarif du stationnement à Paris : toutes sensibilités confondues, une hausse qui ne passe pas auprès de nos concitoyens.


Pourquoi ? 
Paris, comme toutes les collectivités locales de France, a vu ses ressources baisser avec la diminution des dotations de l’Etat. Il manquait 400 millions d’euros
Le 18 décembre 2014, le Conseil de Paris adopte un budget qui fait preuve d’« une maîtrise sans précédent des dépenses de fonctionnement et un effort important pour préparer l’avenir, sans augmenter les impôts des Parisiens » souligne Julien Bargeton, adjoint à la Maire en charge des finances. 
Pas d’augmentation des impôts locaux certes, mais une hausse vertigineuse des tarifs dits préférentiels réservés aux titulaires de la carte de stationnement résidentiel qui, de gratuite, devient payante pour les ménages imposables (45 euros par an, 90 euros pour trois ans). Ils bondissent de 3,5 euros par semaine (65 centimes par jour) à 9 euros, soit une hausse de 180% environ. 
Les non-parisiens contribuent encore davantage. Les visiteurs payent 4 euros de l'heure dans le centre de la capitale, contre 3,60 auparavant (avant 2001, le tarif était de 15 francs, c’est à dire 2,30 euros par jour). Les tarifs doublent dans le reste de la capitale, à 2,40 euros de l'heure. 
Une tarification qui se rapproche des capitales européennes, des tarifs aujourd’hui plus élevés à Paris qu’à Amsterdam, mais inférieurs à Londres (6 euros l'heure). Les visiteurs et les résidents payent une heure de plus par jour, entre 19 et 20 heures, y compris le samedi et en même août.

Actuellement, 240 000 parisiens sont titulaires de cette carte qui permet d’accéder à 140 000 places de stationnement disponibles dont 75% sont occupées par des véhicules qui ne roulent pas. Bref, le système mis en place en 2001 de coût abordable du stationnement en surface aurait trop bien fonctionnée selon l’adjoint en charge des questions de déplacement, Christophe Najdovski (EELV). Le but est de désencombrer l’espace public. Cette hausse permet de rapprocher les tarifs des places en surface de ceux des parkings souterrains afin d’inciter les automobilistes à y garer leurs voitures, et ainsi d’améliorer la « rotation des places ». Les tarifs préférentiels dans 50 parcs de stationnement souterrains concédés de la Ville de Paris seront maintenus. En revanche, il est difficile de trouver un forfait en dessous de 100 euros par mois. 
Dans le même temps, on apprend que la Ville lance, le 22 décembre 2014, une grande consultation auprès des Parisiens car Paris veut tripler le nombre de déplacements à vélo d’ici 2020. Utile mais sans doute pas au niveau d’un vaste transfert des modes de déplacements qui ne sont pas substituables. Une famille parisienne se transporte plus facilement en voiture qu’à vélo.

Le Parisien de mardi 6 janvier évoque une colère des parisiens, BFM TV traite le sujet, les réseaux sociaux s’en emparent. Pas un mot de cette hausse en revanche sur le site de la Ville, à la rubrique « taxes, impôts ». 
Le blog du chroniqueur politique Bruno Roger-Petit, consulté par près de 80 000 personnes, évoque une mesure « suicidaire ». Car, davantage d’une nouvelle politique des déplacements urbains, qui tourne le dos à celle conduite en 2001, c’est bien une recette de poche, estimée à 50 millions, qui semble être l’objectif. Pour équilibrer le budget parisien, il ne fait contribuer « que » les 45% d’entre eux qui utilisent une voiture. Le problème est que les parisiens les plus modestes sont les plus frappés puisque les classes moyennes peuvent s’offrir une place de parking louée à 1200 euros par an. Pour les classes populaires, le coût passe de 169 à 468 euros. Une hausse qui annule le gain de pouvoir d’achat dû à la baisse du prix du pétrole, estimé à 240 euros pour un parisien qui consomme deux pleins par mois en utilisant sa voiture.


En septembre-octobre 2013, la candidate Anne Hidalgo se démarquait des fortes hausses fiscales nationales en annonçant qu’elle souhaitait que « Paris amortisse le choc fiscal national sur la situation des parisiens ». 
On peut chipoter aussi sur le respect de l’engagement de l’absence d’une hausse des impôts locaux, ce qui ne vaut donc pas pour les autres taxes municipales… Plus grave, on assiste à un nouveau contre-pied aux annonces de modération fiscale du Président de la République qui assure que les impôts (nationaux) n’augmenteront pas en 2015. Or, les parisiens subiront une hausse du tarif de stationnement, qui pénalise de surcroît les moins aisés. On aimerait davantage de cohérence. 
A croire aussi que certains socialistes, à Paris comme ailleurs, persistent dans une myopie qui les éloignent toujours plus des classes populaires.





La marche républicaine en hommage aux victimes de l'obscurantisme








Frédéric Boisseau 

Philippe Braham

Franck Brinsolaro

Jean Cabut, dit Cabu

Elsa Cayat

Stéphane Charbonnier, dit Charb

Yohan Cohen

Yoav Hattab

Philippe Honoré, dit Honoré

Clarissa Jean-Philippe

Bernard Maris

Ahmed Merabet

Mustapha Ourrad

Michel Renaud

François-Michel Saada

Bernard Verlhac, dit Tignous

Georges Wolinski




















































Photos de multiples provenances

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